Diapasons et la maladie de Lyme

Diapason maladie de Lyme non-lesté

Diapason maladie de Lyme non-lesté

Diapason thérapeutique de 636.12 Hz non-lesté contre la maladie de Lyme. La méthode de Boehm peut être utilisée plus généralement pour déterminer les fréquences de résonance thérapeutiques qui peuvent être employées pour traiter différentes maladies et troubles humains et animaux. Ainsi, certaines fréquences activeront des enzymes ou gènes spécifiques et d’autres fréquences les inhiberont.

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Informations importantes : A lire !

Nous vous invitons à consulter votre médecin qui déterminera précisément vos besoins. Il vous appartient de vous assurer auprès de ce dernier, que ce diapason peut constituer un complément à votre traitement sans interagir avec celui-ci.


Ce diapason thérapeutique 636.12 Hz doit être utilisé dans le cadre d'une alimentation variée, équilibrée, et d'un mode de vie sain. Diapason.fr succursale  de SARL Notre-sante.ch et de www.laboratoire-suisse.net ne saurait être tenu pour responsable des inconvénients éventuels survenus suite à une utilisation non conforme du diapason .

Diapason de la maladie de Lyme 636.12 Hz.

Une exclusivité de diapasons.fr selon les recherches du sonothérapeute et chercheur Patrick Schifferling


Comme exemple de sa méthode, Boehm a utilisé l’agent pathogène res­ponsable de la maladie de Lyme. Il s’agit d’un spirochète appelé Borrelia burgdorferi.

Cet agent pathogène provoque une infection bactérienne très sérieuse via la morsure d’une tique qui peut s’attaquer à l’homme ou à l’animal.

Ce petit organisme est à l’origine d’un problème de santé à l’échelle mondiale, affectant de millions de gens. Nous connais­sons la structure du génome de la souche B31 de cet agent pathogène. À cause de sa signification clinique, il a été le premier génome microbien à être séquencé, ce qui a permis de déterminer la longueur et la fréquence de résonance des molécules agissant comme antennes. Le génome contient 910 725 paires de base et 853 gènes. Les résultats du projet de séquencement ont été rapportés dans la revue Nature (Fraser et al., 1997).


Spirochète appelé aussi Borrelia burgdorferi


Quels sont les symptômes d’une morsure par des tiques infectées ?


Premiers signes entre 3 et 30 jours



  • La maladie de Lyme se manifeste souvent par de la fièvre.
  • Une grande fatigue
  • Tache sur la peau (érythème migrant)
  • Problèmes articulaires, inflammation d'une ou plusieurs jointures
  • Symptômes cardiaques
  • Symptômes neurologiques
  • Paralysie faciale
  • Des frissons
  • Maux de tête
  • Vertiges
  • Etc.

La méthode de Boehm peut être utilisée plus généralement pour déterminer les fréquences de résonance thérapeutiques qui peuvent être employées pour traiter différentes maladies et troubles humains et animaux. Ainsi, certaines fréquences activeront des enzymes ou gènes spécifiques et d’autres fréquences les inhiberont. Lorsqu’un trouble est provoqué par un agent pathogène (bactérie ou virus), des fréquences spécifiques peuvent avoir des effets très précis :

 

■     Inhibition de processus réalisés par l’ADN et/ou l’ARN, les gènes et les morceaux de gènes.

■     Inhibition de trajets métaboliques ralentissant ou arrêtant la production de l’agent pathogène.

■     Stimulation de trajets métaboliques au sein de l’agent pathogène, l’amenant à se reproduire si rapidement qu’il consomme ses ressources nutritionnelles et ne peut plus par la suite proliférer.

■     Stimulation du métabolisme des cellules du système immunitaire pour qu’elles soient plus aptes à supprimer les agents pathogènes et leurs produits métaboliques.

Les infections par ces organismes ont également été reliées aux lymphomes non Hodgkiniens (Guidoboni et al., 2006). Des détails techniques sur la manière dont l’information sur le génome est convertie en une fréquence thérapeutique sont décrits dans le pavé.

Calcul de la fréquence de résonance de l’agent pathogène de la maladie de Lyme

■     La longueur de l’antenne moléculaire s’obtient en ajoutant les longueurs cumulées des 910 724 paires de base plus la distance qui les sépare, 3 403 846 e'10 m, ce qui donne une longueur totale de 3 099,96 e 4 m (figure 3.13). Cela a permis à Boehm (2007) d’estimer la fréquence de résonance du génome pathogène à 3 415 150,16 e11 Hz. e10 m.

■     La fréquence de résonance doit être déterminée en relation avec la vitesse de la radiation électromagnétique in vivo. La fréquence de résonance primaire est calculée à 3 415 150,16 e11 Hz.

■     Il doit exister le bon « appariement d’impédance » entre le signal se propa­geant dans l’air et dans l’environnement aqueux de l’organisme et la méthode tient compte de tout cela.

■    Cette fréquence est dans la bande infrarouge du spectre électromagnétique.

■     Pour trouver une sous-harmonique convenable de la fréquence de résonance primaire qui tombe dans l’amplitude audio et dans la fabrication de diapason thérapeutique la fréquence de résonance pri­maire est divisée par 2 autant de fois que nécessaire.

■     En termes musicaux, ces fréquences sont connues comme octaves. Dans l’exemple du génome de la B. burgdorferi un glissement vers l’octave audio et thérapeutique est obtenu en divisant la fréquence de résonance de base par 229, ce qui donne une seconde fréquence de résonance thérapeutique de 636,12 Hz, qui se trouve dans la bande audio et de 318.06 Hz et en prenant l'octave en dessous 159.05 Hz, etc...

Dans certains cas, aucun appareillage ne peut facilement émettre la réso­nance primaire de base. Dans ces exemples, les fréquences qui sont har­moniques (multiples exacts) ou sous-harmoniques (divisions exactes) de la fréquence primaire sont efficaces. La situation est comparable à celle décrite dans la discussion au sujet de la théorie sur l’antenne : la meilleure correspon­dance se fait entre les antennes à géométrie identique, mais les antennes de 1/2 onde, de 1/4 d’onde, etc. résonneront également. Pour la maladie de Lyme provoquée par la B. burgdorferi, les fréquences de résonance thérapeutiques in vivo suivantes ont été déterminées dans la bande audio :

■    318.06 Hz diapason lesté

■    636.12 Hz diapason non-lesté

■    1 272,24 Hz

■    2 544,5 Hz

■    5 088,9 Hz

La deuxième de ces fréquences, 636,12 Hz est très proche d’une fréquence (640 Hz) utilisée dans le passé pour traiter la maladie de Lyme (Boehm, 2007).

Caractéristiques du diapason 636.12 Hz non-lesté ou non-pondéré 
Poids49 grammes
Hauteur17.60 centimètres
Largeur4 centimètres
CompositionAluminium médical
Housse de protection bleu fournie avec en:
Tissu velours

Utilisation:

Prenez le diapason par la tige et frappez-le doucement avec un maillet et mettre à environ deux centimètres du corps, attendez que le diapason ne vibre plus et recommencez, trois fois minimum.

Merci de nous tenir au courant de vos résultats à contact@diapasons.fr

Oscillations, vibrations et transferts d'énergie

Quasiment tous les phénomènes de la nature sont sous-tendus par la vibration. Les vibrations des atomes créent le son et la chaleur. La lumière naît de la vibration des électrons d’un objet. Lorsque nous disons que quelque chose est bleu, c’est qu’en réalité la lumière a amené les électrons au sein de l’ob­jet à vibrer d’une manière qui provoque une émission de lumière bleue (voir l’article de Weisskopf de 1968 sur la manière dont la lumière interagit avec la matière).

À un niveau élémentaire, toute vie dépend des molécules intera­gissant par l’intermédiaire de champs vibrants d’énergie. Quasiment, tout ce que nous savons à propos des systèmes vivants est fondé sur l’analyse des vibrations.

Dans le corps vivant, chaque électron, atome, lien chimique, molécule, cel­lule, tissu, organe (et le corps dans son ensemble) présente son propre caractère vibratoire. Étant donné que la structure et la fonction vivante sont ordonnées, les oscillations biologiques sont organisées d’une manière signifiante, et elles contribuent à l’information d’un réseau dynamique vibratoire qui s’étend dans tout le corps et dans l’espace qui l’entoure. « Médecines énergétiques » et « médecines vibratoires » cherchent à comprendre cette matrice énergétique continue, et à interagir avec elle pour encourager la guérison (Gerber, 1988).

Les vibrations sont une partie fondamentale de la physique. Le spectre des fréquences vibratoires électromagnétiques est large : il s’étend sur quelque 90 octaves. Toute action thérapeutique, qu’elle utilise le son, la chaleur, les rayons laser, les plantes, les arômes ou les mouvements, implique une partie ou l’autre de ce spectre énergétique.

Cette science des vibrations s’applique à toutes les méthodes cliniques. Indépendamment de la philosophie sous-tendant la technique utilisée, des interactions complexes se produisent entre des individus proches, même s’ils ne sont pas en contact physique. Voir une autre personne et parler avec elle crée des interactions énergétiques, impliquant les vibrations lumineuses et sonores. L’information peut se transmettre d’un organisme à un autre par les champs d’énergie et les systèmes vivants y sont très sensibles. L’ajout d’une intention thérapeutique et du toucher à l’équation met en jeu de nouvelles dimensions d’échange subtiles, mais mesurables.

Les sceptiques considèrent les médecines vibratoires comme mystiques, surnaturelles, occultes, pseudoscientifiques, loufoques, imaginaires, New Age ou simplement invraisemblables (par exemple, Barrett et Jarvis, 1993 ; Raso, 1995). Les systèmes d’énergie dynamique du corps sont rejetés comme impli­quant « des énergies subtiles étrangères à la physique ».

Ces critiques sont aujourd’hui dépassées parce que les chercheurs modernes ont confirmé que les organismes vivants incluent vraiment des systèmes d’éner­gie dynamique impliquant les mêmes types de phénomènes reliés aux champs que ceux étudiés depuis longtemps par les physiciens. Par exemple, la méde­cine clinique commence à employer des champs magnétiques oscillants pour « démarrer » le processus de guérison. Les thérapies vibratoires ne sont ni magie ni superstition : elles sont fondées sur la biologie, la chimie et la physique.

La physique moderne ... montre une matière pas du tout passive ou inerte, mais en danse continuelle et le mouvement vibratoire de ces schémas rythmiques est déterminé par les structures moléculaires, atomiques et nucléaires. C'est également la manière dont les mystiques orientaux voient le monde matériel. Tous mettent T accent sur le fait que l univers doit être appréhendé dynamiquement, étant donné qu ’il bouge, vibre et danse : que la nature n ’est pas un équilibre statique, mais hautement dynamique.

Capra (1975)

Tous les objets de l’univers sont en constant mouvement. L’immobilité n’existe pas. Les mouvements peuvent être linéaires (comme une ligne droite), rythmiques, vibratoires, ou orbitaux. Certains objets se déplacent d’une posi­tion à une autre, puis reviennent à leur point de départ. Un exemple simple est celui d’un poids suspendu à un ressort tel que le montre la figure 3.15A. Mis en mouvement, le poids bouge de bas en haut - il oscille. La description mathématique de ce type de mouvement est appelée mouvement sinusoïdal ou sinusoïde (figure 3.15B). C’est un schéma qui se produit souvent dans la nature, incluant les vagues de l’océan, les ondes sonores, les ondes lumineuses ou radio et les courants électriques. L’oreille humaine peut reconnaître des ondes sinusoïdales simples comme un son pur et clair, parce qu’elles corres­pondent à des fréquences simples, sans harmoniques ; certaines autres formes d’ondes sont également importantes en médecine énergétique et sont montrées figure 3.16.

Source: livre de James L. Oschman, médecine énergétique (les bases scientifiques) ISBN : 978-235432-202-1

Voir aussi la carte quantique de la maladie de Lyme : https://diapasons.fr

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